Le parti socialiste et tous ses nouveaux amis qui vont du Front de Gauche à l’UDI, en passant par le Modem, les Ecologistes, j’en passe et des meilleurs, appellent donc dimanche à « faire barrage à l’extrême-droite ». Au nom de leurs valeurs « républicaines », il faut s’unir contre l’épouvantail Front National sinon la famille Le Pen va nous manger tout cru. Brrrr, quelle horreur !
Toute la stratégie de Valls, premier ministre à temps
partiel, VRP en chef du parti socialiste consiste pourtant à faire le plus de
publicité possible au FN, dévoilant ainsi sa stratégie pour 2017. En tapant
avec ses petits bras et ses coups de menton sur la famille Le Pen, Valls espère
passer pour le Don Quichotte de nos libertés fondamentales, le dernier rempart
contre la dictature abominable à venir, symbolisée par Marion, ses 25 ans et
ses cheveux blonds.
Il a juste oublié une chose notre toréador national. Lui et
ses crétins de socialistes ont fait une campagne de deuxième tour alors qu’on
était seulement au premier. Moralité, le PS a été éliminé dans plus de 500
cantons. Avec un score de 21%, c’est un parti en voie de disparition, loin
derrière le FN qui totalise 25%.
Aujourd’hui, Valls « stigmatise » donc le front
national et le revendique. Il faut dire qu’il s’y connaît en stigmatisation,
l’ancien immigré espagnol. Il est même un spécialiste du genre. Jugez plutôt.
En 2009, alors qu’il était simple candidat aux primaires
socialistes, un chibani s’approche de Valls pour lui serrer la main. Monsieur
5% aux primaires serre la main du monsieur un peu trop basané à son goût et
soupire : «belle image de la ville d’Evry...». Il dit ensuite à l’homme
qui l'accompagne: «tu me mets quelques blancs, quelques white, quelques blancos.»
(1).
A l’époque, Faouzi Lamdaoui, ex conseiller de Hollande,
dénonce un « dérapage scandaleux ». Le premier d’une longue série…
En 2013, qui déclare: « La situation, devenue
intolérable, ne peut perdurer: il faut faire respecter la loi en démantelant le
maximum de camps de Roms insalubres… Les occupants de campements ne souhaitent
pas s'intégrer dans notre pays pour des raisons culturelles ou parce qu'ils
sont entre les mains de réseaux versés dans la mendicité ou la
prostitution… » ? (2)
Le Pen ? Estrosi ? Hitler ? Perdu. C’est
Manolo Valls.
Pour ces propos, Valls est attaqué pour « incitation à
la haine raciale ». Il n’est même pas jugé car en France Socialiste, les
ministres peuvent faire n’importe quoi, ils sont au dessus des lois, tout le
monde le sait bien.
A « gauche », on entend un tollé général, à
commencer chez les écologistes qui dénoncent une atteinte au « pacte
républicain ». En ciblant une catégorie en raison de son appartenance
ethnique, Valls prouve ainsi à tous ceux qui ont des doutes sur son attachement aux valeurs
républicaines qu’ils ont bien raison.
Cette même année 2013, Valls et les socialistes expulsent 20
000 Roms des bidonvilles où ils vivent, soit deux fois plus, oui vous lisez
bien, deux fois plus, que sous l’ère Sarkozy. La population totale de Roms qui
vit en bidonvilles en France est d’environ 20 000 personnes. Cela signifie que
cette année là, chaque Rom vivant en République Socialiste Laïque a été expulsé
au moins une fois. Ca, c’est de la valeur républicaine de gauche, de la vraie.
Toujours en 2013, à Saint-Fons, mairie tenue par la
sénatrice-maire Demontès, expulsée elle aussi depuis aux dernières municipales,
les socialistes inventent… la classe ethnique au commissariat. Très soucieuse
d’intégrer les enfants Roms et de leur apprendre les valeurs de la République
Socialiste, madame la sénatrice à l’idée géniale d’ouvrir une classe spéciale,
réservée aux enfants Roms, dans le même bâtiment que celui de la police. A droite
la police municipale, à gauche la police nationale. On n’a pas encore trouvé
mieux pour encadrer les enfants dès leur plus jeune âge et leur apprendre
qu’ils n’ont pas vocation à s’intégrer. Le Défenseur des Droits, feu Dominique
Baudis, qualifie cette classe de « stigmatisante » et ordonne sa
fermeture.
En 2014, à Bron, rebelotte avec une autre sénatrice maire
socialiste à Bron : Annie Guillemot. Cette fois, les enfants Roms sont
parqués dans une classe spéciale d’une école, sans contact avec les autres
enfants et sont privés de cantine. Non mais, on fait déjà la garderie, on va
pas encore les nourrir en plus, faut pas déconner. On est socialiste ou on ne
l’est pas. (2)
On pourrait multiplier les exemples des propos et des actes
racistes, xénophobes, stigmatisants des socialistes contre les Roms. Refus de
scolariser les enfants, refus de domicilier les parents, refus d’inscrire des
citoyens européens sur les listes électorales, expulsions massives, violences
policières, … Un livre entier ne suffirait pas.
Quoi ? Comment ? Les socialistes racistes ?
Eux qui donnent des leçons à longueur de temps ? Non. Pas possible.
Et si encore les socialistes se contentaient d’être racistes. Non, ils sont en
plus hypocrites et menteurs.
En 2012, alors qu’il est candidat à la présidence de la
république, Hollande, premier socialiste écrit : « J’ai toujours
dénoncé, et je continuerai à le faire, la stigmatisation dangereuse lancée par
le candidat sortant en août 2010 à l’égard des populations de Roms :
expulsions brutales à répétition, stigmatisation toujours plus forte d’une
population, interdiction de travailler et de se former, reconduites aux
frontières sans résultat… » (4). Etonnant, non ?
On dirait une déclaration d’amour à Valérie juste avant
d’aller se taper Julie. Du Hollande pur jus.
Bon alors pour ceux qui n’ont pas bien compris. Il y a le
racisme et l’antisémitisme qui sont des délits insupportables contre lesquels
les socialistes et Valls « lié de manière éternelle à Israël et à la
communauté juive » vont lutter. Et puis à côté il y a le racisme d’état
officiel contre les Roms que les socialiste et Valls vont appliquer
consciencieusement au nom de leur conception de la République.
Jamais la France n’a mené une politique aussi répressive,
raciste et discriminatoire envers une minorité ethnique que depuis l’accession
des socialistes au pouvoir. Cette politique se traduit par des discours
racistes et xénophobes au plus haut niveau de l’état, par une course effrénée
aux chiffres et par des violations répétées des lois françaises et
internationales.
Alors mesdames et messieurs de gauche, si vous pensez qu’il
est urgent de voter pour un parti républicain afin de dire non au racisme, à la
xénophobie, à la stigmatisation des minorités., votez donc pour qui vous
voulez, ou ne votez pas, mais ne votez pas socialiste.
Ou alors, ne venez plus jamais nous parler de vos valeurs
puantes et nauséabondes, prétendument de gauche, que vous remballerez avec vous
en 2017.
A bon entendeur, salut.
A bon entendeur, salut.
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